M 4 2 O r i o n - 4’28’’ Musique : Beatriz Ferreyra ©2021 ADAGP / SACEM Les images de cette vidéo ont été conçues à partir de la composition sonore, dédiée à Bernard Baschet, « Au revoir l'ami » de la compositrice Beatriz Ferreyra. Le titre, M42 , fait référence à la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu : un nuage diffus qui brille en émission et en réflexion au cœur de la constellation d’Orion située pratiquement sur l'ÉQUATEUR céleste. The images in this video were designed from the sound composition, dedicated to Bernard Baschet, “Goodbye friend” by composer Beatriz Ferreyra. The title, M42, refers to the most intense nebula visible to the naked eye: a diffuse cloud that shines in emission and reflection in the heart of the constellation Orion located practically on celestial ECUADOR. ![]() T r i s t e T r o p i s m e - 6'0'' Musique : Francis Dhomont © 2019 ADAGP / SACEM La nature palpite, harcelée par l'agression que nous lui imposons. "Tout progrès technologique génère une perte sur un autre plan", écrit Claude Lévi Strauss. Les mouvements de plantes sont une forme de tropisme, une réaction que suscite le conflit avec les étranges matériaux qui envahissent leur univers. Nature throbs, harassed by the aggression we impose on it. "Any technological progress generates a loss on another plane", writes Claude Lévi Strauss. Plant movements are a form of tropism, a reaction to conflict with the strange materials that invade their world. ![]() S o l i p s i s m e - 5’ 54’’ Musique : Francis Dhomont © 2017 ADAGP / SACEM Un être pour qui n’existe d’autre certitude que soi-même. Isolement choisi. Enfermement dans une prison de la forme et de l’identité. Déréalisation. S o l i p s i s m A being for whom there is no certainty but itself. Isolation selected. Containment in a prison of form and identity. Derealization. ![]() D i s p a r i t i o n s - 6’ 38’’ Musique : Francis Dhomont © 2014 ADAGP / SACEM Réalisation : Studio Métamorphoses d’Orphée, Ohain, Belgique La musique a été composée la première, son principe formel est très perceptible : certaines de ses voies vont disparaître progressivement au cours des cinq courtes parties qui la composent . La vidéo obéit au même principe de disparitions visuelles progressives. D i s a p p e a r a n c e s The idea of these disappearances refers to novel of Yoko Ogawa, “Secret Crystallization”. The music was composed initially and the formal principle is very noticeable: some sound tracks will gradually disappear during the five short parts that compose it. The video follows the same principle of progressive visual disappearances. T ![]() T e m p s B l e u - 7 ' Musique : Francis Dhomont © 2012 ADAGP / SACEM Bourse de création, Conseil des Arts du Canada Le spectateur est toujours regardé et son regard se confond avec celui de quelqu'un d'autre. Ce regard l'interroge dans un espace ou les images évoquent un état censé être indépendant du temps et n'avoir donc ni commencement ni fin. Des événements se succèdent, comme des éclairs des souvenirs dans l'intemporalité. B l u e T i m e The spectator is observed and his sight is confounded with the other's sight. This sight questions him in a space where images evoke a state that aspires to be independent of time, without a beginning or ending. The events occur like a succession of flashes of memories detached from time. ![]() S i s y p h e - 8’ 38’’ Musique : Francis Dhomont © 2008 ADAGP / SACEM Distribution GIV Montréal Qc. Égaré dans un labyrinthe de murs, d'escaliers,de couloirs, un être reprend indéfiniment saprogression, tel le mythique Sisyphe dans satâche éternelle : marche hésitante, toujoursrecommencée, dans un espace vide et sans ciel. Lost in the middle of a labyrinth of walls, stairs and halls, a being begins his eternal ascent, evoking to the mythical Sisyphus in his infinite task. In this skyless, empty space, a body moves with wavering steps. ![]() I m p a s s e - 6’20’’ Musique : Beatriz Ferreyra © 2008 ADAGP / SACEM Distribution GIV Montréal Qc. Le ciel s'ouvre sur une ville scintillante des Andes. Un personnage égaré flotte sur ce paysage urbain qui se décolore progressivement. Cette métaphore est une vision personnelled'une réalité complexe et ambiguë. D e a d E n d The sky opens to a vibrant city. A lost figure floats in this urban environment that gradually loosescolor. Despair is the final comment to this metaphor, a personal look at acomplex and ambiguous reality. ![]() V a r i a t i o n s - 10'40" Musique : Chantale Laplante © 2004 ADAGP / SOCAN Distribution GIV Montréal Qc. Méditation sur l'ombre et la lumière, les formes et leur mouvement, à partir de l'observation d'espaces, lieux et éléments architecturaux. A meditation on shadow and ligth, on shapes and their movement, based on an observation of architecturalspaces, sites and elements. ![]() M i c r o c o s m o -6'13" Musique : Francis Dhomont, d'après "Météores" © 2004 ADAGP / SACEM Distribution GIV Montréal Qc. Inspiré de "El Aleph" de Jorge Luis Borges, Microcosmo ébauche une vision du monde fantaisiste, puis, s'éloignant du récit, évolue vers l'autoportrait. La musique sert de lien entre les images, flux et reflux, unecolorationsonore en contrepoint. Inspired by « El Aleph » by Jorge Luis Borges, Microcosmo creates a magical world, and then quickly moves away from the premise of the story, and towards the technique of self-portrait.The music, in the video, works as a guide to help the viewer follow the ebb of the images.The audio and the visual work together to helpprocure a contrasting image and soundscape ![]() R e f l e t s LR - 8'28'' Musique : Francis Dhomont © 2005 ADAGP / SACEM Résidence Studio DELTA P. Carré Amelot la“Camera Acustica”. La Rochelle, France Une promenade intuitive, le parcours impressionniste d’une ville, d’un port, d’une histoire, d’un peuple. Une ébauche, quelques images provoquées : Reflets de La Rochelle, en France. An intuitive walk, the impressionist journey of a city, a port, a history, of a people. A draft,some provoked images:Reflections of La Rochelle, France. |
![]() D e r r i è r e l a f e n ê t r e - 5’08Musique Francis Dhomont© 2020 ADAGP / SACEM Le film est conçu en forme de Haïku. Chaque séquence en trois images est une sorte d'instantanérapide et concis qui ne doit pas décrire mais évoquer. Le spectateur regarde à travers la fenêtre une succession d’images qui évoquent une situation qui se trouve dans le souvenir ou dans un possible présent. The film is made in the shape of Haiku. Each sequence, in three images, is a kind of quick and concise snapshot which should not describe but evoke. The spectator looks through the window at a succession of images that evoke a situation that is in the memory or in a possible present. ![]() T h e S u n k e n I s l a n d - 6'40'' Musique : Francis Dhomont © 2018 ADAGP / SACEM HONORARY MENTION, in the competition Destellos 2019, Argentine Un territoire dépeuplé où n’habitent plus que des oiseaux sans envol. Des signes et graphismes énigmatiques dans un inventaire d’empreintes et d’ écritures secrètes qui soulignent les absences. Les vestiges d'une fontaine et de ses colonnes murmurent l’engloutissement des terres et de leur grimoire. A depopulated territory where live birds no flight. Enigmatic signs and graphics in an inventory of traces and secret writings that highlight absences. The remains of a fountain and its columns murmur the sinking of the lands and their grimoire ![]() L e S i l e n c e d u L é t h é - 7’ 46’’ Musique : Francis Dhomont © 2016 ADAGP / SACEM Le Léthé, fleuve mythologique dont les âmes buvaient l'eau pour effacer les traces du passé, coulait dans la lenteur et en silence. Mnémosyne regarde intensément le devenir de la nature, le temps passé prisonnier d' un morceau d’ambre et sa fuite gravée dans le bois. Les souvenirs deviennent bruit afin de remonter le fleuve où s'engloutit l’oubli. T h e S i l e n c e o f L e t h e Souls drank the water of Lethe, the mythological river that flowed in slowness and silence, to erase the traces of the past. Floating on music forged from three continents, Europe, Asia, America, the boat of Mnemosyne makes us go up this river where the memory is swallowed, and by the magic of the sounds and the images of the present, to reawaken the imprints of the past. ![]() L' a i l l e u r s t o u j o u r s- 6’ 46’’ Musique : Francis Dhomont © 2012 ADAGP / SACEM Ces images évoquent l’errance, une migration sans fin dans un espace où les limites s’effacent, où les frontières sont vagues ; un lieu qui ne semble jamais pouvoir être atteint et dilue dans l’ombre les pas du voyageur multiplié. Temps indécis, le but est incertain. « il n’y a pas de chemin, il faut juste marcher »(A .Machado) A l w a y s s o m e w h e r e e l s e These images evoke the endless wandering, migration in a space where the boundaries disappearand and the borders are vague; a place that can never be reached.The walker steps are multiplied and diluted in the shadow of a random time whose end is uncertain. ![]() D é r i v e - 6' 54'' Musique : Francis Dhomont © 2010 ADAGP / SACEM Bourse de création, Conseil des Arts du Canada Cette Dérive est celle de l’exploitation aveugle de notre terre dévastée, étouffée sous nos déchets dans une spirale sans fin. Et pourtant… la vie continue. D r i f t s Dérive carries a glance on the environmental questions of a planet in full upheaval. A threat through inopportune appearances leads to a process which is damaged in a deep spiral However, the life continues… ![]() P a s s a g e s- 8' 26'' Musique : Francis Dhomont © 2009 ADAGP / SACEM Bourse de création, Conseil des Arts du Canada Passages à travers des espaces urbains obligés. Mouvement permanent, imposé. Accumulations d'êtres enfermés dans le kaléidoscope d'un jeu étrange. L'homme solitaire et son double, marchent vers un Passages through obligatory urban spaces. Imposed perpetual movement. Gathering ofhuman beings, prisonersin the kaleidoscope of a strange game. The solitary man and his doubleare walking towards an abyss of shadows. Research/Creation Grant, Canada Council for the Arts. ![]() P a i s ag e a v e c m i r o i r - 7'0" Musique : Ingrid Drese © 2006 ADAGP / SABAM Distribution GIV Montréal Qc. Un regard reflété dans le miroir est témoin d’une métamorphose dans un paysage liquide et souterrain. Guidés par la forme du récit, inspirés par l’atmosphère des images, dans une volonté d’en saisir le sens, les sons s’y fondent et s’y confondent. (I.Drese) L a n d s c a p e w i t h m i r r o r "Landscape with mirror" is a meditation on the body, its shadows and transparencies, whichchange and dissolveto the music of Ingrid Drese. A gaze reflected in the mirror witnesses themetamorphosis of an intimate landscape,dreamlike and secret. "Guided by the form of thenarrative, inspired by the atmosphere of the images,attempting to seize their meaning, thesounds intermingle and coalesce." (Ingrid Drese) DVD ![]() M o i r u r e s - 13’ 27’’ Musique: Francis Dhomont, d’après "Les moiruresdu temps" © 2005 ADAGP / SACEM Résidence Studio Delta P. Carré Amelot la “Camera Acustica”. La Rochelle, France Production de l’image à partir de la composition sonore.Dans Moirures, les images ne font que dévoiler la musique,à la manière d’une partition de formes, de textures et de couleurs,une peinture en mouvement. S h i m m e r s In Moirures the images do nothing but reveal the music, in the way of a score ofshapes, textures and colors. |